Mars 14
25
Les hirondelles... (2)
Quel temps pour les hirondelles ?
Mot(s)-clé(s) hirondelles
Il existe 3 espèces d'hirondelles présentes chez nous. Ce sont des passereaux. Elles font partie de la famille des hirundinidés. On a l'hirondelle rustique ou dite de cheminée, l'hirondelle de fenêtre et l'hirondelle de rivage.
Elles sont facilement reconnaissables avec leur forme fuselée qui leur donne la rapidité de vol nécessaire pour la capture d'insectes en vol. Mais, il faudrait un guide précis pour distinguer individuellement les espèces quand elles traversent le ciel à la vitesse de l'éclair.
Je vais aussi vous parler du martinet noir présent souvent en même temps que les hirondelles chez nous. Bien qu'en néerlandais, on traduit son nom par hirondelle-vautour, ce n'est pas une hirondelle. Il fait partie des apodidés (sans -pattes). Son plus proche parent est le colibri.
En premier, nous avons l'hirondelles de fenêtre.
Ce sont les premières de retour au printemps avec leurs cousines les hirondelles de rivage.
Elle est munie d'une courte queue faiblement échancrée.
On l'a distingue facilement des autres par son croupion blanc qui contraste avec son plumage de dessus bleu noir. Le croupion est l'extrémité postérieure du corps qui est composé des dernières vertèbres dorsales et qui supporte les plumes de la queue.
son ventre est entièrement pur blanc.
Elle établit son nid presque toujours à l'extérieur des bâtiments, souvent sous les corniches et appuis de fenêtres.
Ensuite, de retour en général en avril, nous avons l'hirondelle rustique ou dite également de cheminée qui est facilement reconnaissable par sa longue queue échancrée pourvue de gracieux filets. son plumage est de couleur bleu métallique sur le dessus et blanc crême sur le dessous. son front et sa gorge sont de couleur rousse avec un collier bleu-noir. C'est la plus grande de nos hirondelles.
Elle accroche son nid principalement à l'intérieur des bâtiments agriucoles où la présence d'animaux d'élevage est privilégiée apportant le nombre d'insectes nécessaire au nourrissage des hirondeaux.
Et voici, enfin, la plus petite de nos hirondelles, l'hirondelle de rivage. Elle a le plumage brun sur le dessus et blanc sur le dessous traversé par une bande brune. Elle possède une courte queue à peine échancrée.
Elle construit son nid dans une paroi verticale meuble en creusant une galerie terminée par une chambre garnie d'herbes sèches et de plumes. La longueur du tunnel est très variable et dépend de la cohésion du substrat (de 30 à 140 cm). On peut parler de couloir de nidification.
Les parois de sables, verticales et sans végétation sont leurs lieux de nidification privilégié. On les trouve chez nous surtout dans les sablières qui leur rappellent leur site de nidifcation originel ou naturel (les berges abruptes des rivières).
Mais elles préfèrent les parois fraîchement exploitées car un rajeunissement de la paroi est nécessaire pour garder un nid sain sans parasite. La colonisation de la végétation se produisant en général après effondrement des fronts d'exploitation menace leur habitat.
Et maintenant parlons un peu de ce drôle d'oiseau, le martinet noir.
Il présente des particularités qui le distinguent des autres oiseaux sur les plans du comportement, de l'anatomie et même de la physiologie.
Les martinets sont de couleur noir ou brun-noir avec une petite tache blanche grisée à la gorge. Il a des ailes étroites en forme de faux et un corps fuselé.
C'est un des oiseaux européens parmi les plus rapides. Lorsque les membres d'une colonie se rassemblent pour voler à pleine vitesse en criant, ils peuvent atteindre 220km/h en piqué.
Le faucon hobereau, le seul ennemi naturel en vol du martinet est plus rapide. (Il peut piquer à 240km/h).
Le martinet noir est capable de voler sans se poser pendant de très longues périodes. Ceci n'es possible que parce qu'il sait faire beaucoup de choses en volant. Il peut manger , boire, dormir en vol et même s'accoupler. Ce n'est que pour l'élevage des jeunes qu'il doit atterrir.
Par temps froid où lors de périodes de manque de nourriture, il est capable d'entrer dans un état de torpeur comparable à une sorte d'hibernation.
Les martinet noirs mangent exclusivement des insectes volants "mous" (sans élytres).
ils nichent partout où ils trouvent des cavités propres à abriter leur nid. On les qualifie d'oiseaux citadins, car on trouve en ville plus d'habitations propices à leur nidification, particulièrement sous les rebords de toits.
Les martinets ont besoin d'un espace dégagé devant leur nid. Leur pattes ne sont pas adaptées au saut. Leurs ailes longues et étroites sont construites pour des vols longs et rapides. Ils peuvent entrer dans leur nid à une vitesse de 70 km/h et ont besoin d'un espace dégagé au départ et à l'arrivée.
Les hirondelles émettent un son doux et agréable de façon répétée avec des stridulations.
On dit qu'elle gazouille, trisse et stridule.
Ce sont des gazouillement grasseyant, mélodieux, entrecoupé de roulements rêches qui se termine souvent par un grincement de grille rouillée.
Pour reconnaître plus facilement leurs chants et cris, on dirait qu'elle prononce sans arrêts le chiffre "18". Le cri de contact s'est "vitt" ou "tsivitt" aigus. L'alarme est une répétitino de "tsivitt" nerveusement enchaînés en présence des oiseaux de proie.
Le martinet noir a un cri plus strident.
Elles sont facilement reconnaissables avec leur forme fuselée qui leur donne la rapidité de vol nécessaire pour la capture d'insectes en vol. Mais, il faudrait un guide précis pour distinguer individuellement les espèces quand elles traversent le ciel à la vitesse de l'éclair.
Je vais aussi vous parler du martinet noir présent souvent en même temps que les hirondelles chez nous. Bien qu'en néerlandais, on traduit son nom par hirondelle-vautour, ce n'est pas une hirondelle. Il fait partie des apodidés (sans -pattes). Son plus proche parent est le colibri.
En premier, nous avons l'hirondelles de fenêtre.
Ce sont les premières de retour au printemps avec leurs cousines les hirondelles de rivage.
Elle est munie d'une courte queue faiblement échancrée.
On l'a distingue facilement des autres par son croupion blanc qui contraste avec son plumage de dessus bleu noir. Le croupion est l'extrémité postérieure du corps qui est composé des dernières vertèbres dorsales et qui supporte les plumes de la queue.
son ventre est entièrement pur blanc.
Elle établit son nid presque toujours à l'extérieur des bâtiments, souvent sous les corniches et appuis de fenêtres.
Ensuite, de retour en général en avril, nous avons l'hirondelle rustique ou dite également de cheminée qui est facilement reconnaissable par sa longue queue échancrée pourvue de gracieux filets. son plumage est de couleur bleu métallique sur le dessus et blanc crême sur le dessous. son front et sa gorge sont de couleur rousse avec un collier bleu-noir. C'est la plus grande de nos hirondelles.
Elle accroche son nid principalement à l'intérieur des bâtiments agriucoles où la présence d'animaux d'élevage est privilégiée apportant le nombre d'insectes nécessaire au nourrissage des hirondeaux.
Et voici, enfin, la plus petite de nos hirondelles, l'hirondelle de rivage. Elle a le plumage brun sur le dessus et blanc sur le dessous traversé par une bande brune. Elle possède une courte queue à peine échancrée.
Elle construit son nid dans une paroi verticale meuble en creusant une galerie terminée par une chambre garnie d'herbes sèches et de plumes. La longueur du tunnel est très variable et dépend de la cohésion du substrat (de 30 à 140 cm). On peut parler de couloir de nidification.
Les parois de sables, verticales et sans végétation sont leurs lieux de nidification privilégié. On les trouve chez nous surtout dans les sablières qui leur rappellent leur site de nidifcation originel ou naturel (les berges abruptes des rivières).
Mais elles préfèrent les parois fraîchement exploitées car un rajeunissement de la paroi est nécessaire pour garder un nid sain sans parasite. La colonisation de la végétation se produisant en général après effondrement des fronts d'exploitation menace leur habitat.
Et maintenant parlons un peu de ce drôle d'oiseau, le martinet noir.
Il présente des particularités qui le distinguent des autres oiseaux sur les plans du comportement, de l'anatomie et même de la physiologie.
Les martinets sont de couleur noir ou brun-noir avec une petite tache blanche grisée à la gorge. Il a des ailes étroites en forme de faux et un corps fuselé.
C'est un des oiseaux européens parmi les plus rapides. Lorsque les membres d'une colonie se rassemblent pour voler à pleine vitesse en criant, ils peuvent atteindre 220km/h en piqué.
Le faucon hobereau, le seul ennemi naturel en vol du martinet est plus rapide. (Il peut piquer à 240km/h).
Le martinet noir est capable de voler sans se poser pendant de très longues périodes. Ceci n'es possible que parce qu'il sait faire beaucoup de choses en volant. Il peut manger , boire, dormir en vol et même s'accoupler. Ce n'est que pour l'élevage des jeunes qu'il doit atterrir.
Par temps froid où lors de périodes de manque de nourriture, il est capable d'entrer dans un état de torpeur comparable à une sorte d'hibernation.
Les martinet noirs mangent exclusivement des insectes volants "mous" (sans élytres).
ils nichent partout où ils trouvent des cavités propres à abriter leur nid. On les qualifie d'oiseaux citadins, car on trouve en ville plus d'habitations propices à leur nidification, particulièrement sous les rebords de toits.
Les martinets ont besoin d'un espace dégagé devant leur nid. Leur pattes ne sont pas adaptées au saut. Leurs ailes longues et étroites sont construites pour des vols longs et rapides. Ils peuvent entrer dans leur nid à une vitesse de 70 km/h et ont besoin d'un espace dégagé au départ et à l'arrivée.
Les hirondelles émettent un son doux et agréable de façon répétée avec des stridulations.
On dit qu'elle gazouille, trisse et stridule.
Ce sont des gazouillement grasseyant, mélodieux, entrecoupé de roulements rêches qui se termine souvent par un grincement de grille rouillée.
Pour reconnaître plus facilement leurs chants et cris, on dirait qu'elle prononce sans arrêts le chiffre "18". Le cri de contact s'est "vitt" ou "tsivitt" aigus. L'alarme est une répétitino de "tsivitt" nerveusement enchaînés en présence des oiseaux de proie.
Le martinet noir a un cri plus strident.
Merci
Bravo pour cette présentation claire et captivante
Marie12 | Le Jeudi 11/07/2024 à 19:46 | | Répondre