Nov. 08
05
Ressusciter une lande à bruyère
Mot(s)-clé(s) Groupe Paysages Ruralité Agriculture
Une douzaine de bénévoles viennent de dégager la végétation qui envahissait le sommet de la sablière de Néthen. Pour redonner vie à une ancienne lande à bruyère.
Un des objectifs du plan communal de développement de la nature (PCDN) de Grez-Doiceau consiste en la restauration d'anciennes landes à bruyère.
Le docteur Jacques Sténuit, président des Amis du Parc de la Dyle : " J'ai repéré les reliques de l'une d'elles au sommet de la sablière de Néthen. Mais les quelques plants de bruyère encore présents y souffraient d'un manque de lumière et de l'envahissement d'autres plantes comme des fougères et des buissons. "
Le groupe " Paysages, ruralité, et agriculture " du PCDN ayant choisi de réhabiliter cette lande, une douzaine de bénévoles ont dégagé, voici quelques jours, l'endroit de la végétation envahissante (prunus et conifères notamment).
" Les branches coupées sont amenées par les plus jeunes au bord de la Tienne Vincent. Cette semaine, des ouvriers communaux viendront les broyer ", commente l'éco-conseillère Claudia Bouxain.
" Les graines qui nous intéressent sont toujours dans le sol, elles vont bientôt germer tandis que les plantes de bruyère préservées vont se développer recréant une biodiversité de la flore (avec notamment des genêts de différentes espèces ainsi que des mousses et des lichens) mais aussi de la faune car avec un peu de chance, on va revoir ici divers papillons, des abeilles et des guêpes solitaires, lézards des souches, engoulevents, alouettes... " ajoute le docteur Sténuit.
Vers l'Avenir.
Un des objectifs du plan communal de développement de la nature (PCDN) de Grez-Doiceau consiste en la restauration d'anciennes landes à bruyère.
Le docteur Jacques Sténuit, président des Amis du Parc de la Dyle : " J'ai repéré les reliques de l'une d'elles au sommet de la sablière de Néthen. Mais les quelques plants de bruyère encore présents y souffraient d'un manque de lumière et de l'envahissement d'autres plantes comme des fougères et des buissons. "
Le groupe " Paysages, ruralité, et agriculture " du PCDN ayant choisi de réhabiliter cette lande, une douzaine de bénévoles ont dégagé, voici quelques jours, l'endroit de la végétation envahissante (prunus et conifères notamment).
" Les branches coupées sont amenées par les plus jeunes au bord de la Tienne Vincent. Cette semaine, des ouvriers communaux viendront les broyer ", commente l'éco-conseillère Claudia Bouxain.
" Les graines qui nous intéressent sont toujours dans le sol, elles vont bientôt germer tandis que les plantes de bruyère préservées vont se développer recréant une biodiversité de la flore (avec notamment des genêts de différentes espèces ainsi que des mousses et des lichens) mais aussi de la faune car avec un peu de chance, on va revoir ici divers papillons, des abeilles et des guêpes solitaires, lézards des souches, engoulevents, alouettes... " ajoute le docteur Sténuit.
Vers l'Avenir.
Voir également Nethen: de joyeuses fourmis pour une lande à bruyères